Au nord de l’île du sud


Wellington

vue de la scenic roadMalgré un voyage en avion assez fatiguant, nous attendons l’arrivée de nos vélos sur le tapis roulant avec impatience. Nous sommes tous les deux pressés de démarrer nos premiers tours de roues en Nouvelle Zélande. De l’aéroport on rejoint facilement la ville par une route qui est faisable en vélo. Mais très vite nous rencontrons notre première grosse difficulté : ici on roule à gauche ! Nous sommes constamment tentés de nous mettre à droite et il faut toute notre concentration pour rester du bon côté. Les ronds points sont sans doute les plus délicats. Des années de réflexes routiers à contredire en permanence 🙂

Alors que nous remontons vers le centre ville, nous sommes impressionnés par la quantité de verdure. Avec des arbres partout, de petites maisons coloniales avec jardin, Wellington ressemble plus à un gros village qu’à l’une des plus grosses villes du pays. Seul son port imposant et son quartier d’affaire à la new yorkaise rappellent sa véritable dimension.

Nous nous sentons tellement bien ici que nous décidons d’y rester un peu pour en profiter. Nous nous reposons tranquillement et tentons de réparer nos équipements usés par les premiers mois de voyage. Laeti en profite même pour rechausser ses baskets et faire le tour des nombreux parcs de la ville en courant. Dans cette ville à la météo réputée humide et venteuse, nous profitons d’un beau soleil qui nous encourage à arpenter les rues et à faire quelques tours en vélo. Nous prenons plaisir à découvrir les quartiers excentrés au bord de la Scenic Road qui longe une cote splendide. Une fleur parmi les fleursPartout des gens qui courent, font du vélo ou bien se baignent dans cette eau qui est pourtant un peu fraîche. La Nouvelle Zélande semble être une nation de sportifs. Il faut dire que l’environnement s’y prête. Les nombreuses criques découpées appellent à la baignade et les hauteurs fleuries pousseraient presque Sébastien à suivre sa chérie au jogging … presque 🙂

Étant en carence de culture, nous passons faire un tour au museum de la ville, le “Te Papa”, gros bâtiment surplombant le port et qui offre une grande variété de salles à thèmes : la géologie et la tectonique, la culture maori, l’histoire des premiers settlers et des réfugiés de guerre en finissant par un peu d’art. On pourrait facilement y passer quelques heures, d’autant que dans ce pays où tout semble payant, l’entrée reste gratuite.

La veille de prendre le ferry en direction de l’île du Sud, nous partons en water taxi de l’autre côté de la baie pour un petit tour en vélo jusqu’au phare de Wellington. La ballade assez courte nous emmène tout d’abord à travers de petits villages de pêche, puis s’enfonce dans des prairies verdoyantes où nous côtoyons nos premiers moutons néo zélandais pour arriver à ce fameux phare d’où l’on peut apercevoir les côtes de Picton par beau temps. De l’autre côté, le panorama sur Wellington confirme nos premières impressions de verdure.

The Queen Charlotte Track

Day1

Queen Charlotte SoundNous replions la tente sous la pluie et nous dépêchons de filer vers le terminal du ferry où nous arrivons 5 minutes avant l’heure indiquée du départ. Mais ici, cela signifie que nous avons raté le bateau. Nous avons notre première rencontre avec la ponctualité kiwi et nous sommes donc remis sur le ferry suivant. La traversée de cette mer calme sur ce ferry énorme se passe sans encombre et nous arrivons rapidement à Picton. La pluie n’ayant toujours pas cessée, nous décidons de poser ici notre camp avant de partir sur le trek de Queen Charlotte le lendemain.

Pour accéder au départ, nous prenons le water taxi jusqu’à Ship Cove. La pluie n’a toujours pas décidé de s’arrêter et les chemins sont transformés en petits torrents d’eau et de boue qui nous donnent du fil a retordre dans les montées les plus raides. La première partie se passe dans une forêt primaire à la végétation dense. Les fougères arborescentes se mêlent aux grands arbres qui servaient aux maoris pour faire les pirogues. Au sol, un entrelas de fougères et de lianes empêchent de s’aventurer en dehors du sentier. A notre grand regret, peu de points de vue permettent d’observer cette cote pourtant si sympathique. Nous arrivons finalement à Camp bay où se trouver notre premier D.O.C (Department Of Conservation, une sorte d’équivalent de l’ONF) camping ground.

Dur dur d’installer le camping ce soir. Après toute cette pluie nous n’avons plus rien de sec, ni même dans le fond des sacs. La bruine nous offre un break pour nous mettre en cuisine, mais il faut ensuite nous glisser dans les duvets tout humide. Autour de nous, nous entendons les cris et les rires des nombreux kiwis qui sont venus fêter la nouvelle année dans leur bateaux où dans l’un des nombreux lodges.

Day2

Fougères arborescentes2012 commence très bien ! La pluie s’est faite remplacée par un ciel d’azur et le soleil nous chauffe les côtes dès le matin. Cette deuxième partie du trek offre une végétation moins riche, mais par contre de nombreux points de vue ont été installés sur les crêtes pour admirer les contours forts sympathiques du Queen Charlotte Sound et de ses quelques ilôts. En chemin, nous faisons nos premières rencontres avec des néo zélandais. Mieux informés que nous, ils profitent tous des services offerts par la water taxi, notamment celui d’apporter les bagages chaque jour au campement suivant. D’ailleurs en guise de campement, ils optent bien souvent pour les lodges. Nous discutons particulièrement avec deux groupes. Quand ils apprennent que nous sommes français, les deux groupes embrayent directement sur … le Tour de France, qu’ils ont l’intention d’aller voir en direct depuis les routes de nos campagnes. Ils regardent tous le Tour depuis de nombreuses années et en savent bien plus que nous sur le sujet. Bien sûr, nous finissons par parler un peu rugby.

Nous arrivons le soir au campement de Cowshed bay. Comme dans beaucoup de DOC campings, le paiement de la nuit se fait dans les “honesty boxes”, des sortes de boites aux lettres dans lesquelles les campeurs sont invités à mettre d’eux même la somme adéquates. Il n’y a bien qu’ici que ça peut marcher.

Day3

Long long way from homeDépart à l’aube ce matin pour parcourir les 20 kilomètres qui nous séparent d’Anakiwa avant 15h30, heure de rendez vous avec le water taxi qui nous apporte les vélos au bout du trek, la classe ! Le chemin ressemble un peu à la veille et la météo est elle aussi au beau fixe. Nous croisons à nouveau les néo zélandais qui s’arrêtent un peu avant nous et poursuivons d’un pas pressé vers la fin du trek. Nous y arrivons vers 15h29 et n’avons même pas le temps de nous asseoir que les vélos arrivent déjà. Décidément, pas question de retomber dans nos mauvaises habitudes de quart d’heure toulousain dans le coin.

Nous reprenons notre chemin, en direction de l’Ouest. La route serpente dans un paysage vallonné le longs des baies et nous fait passer à travers quelques villages qui sentent bon le fish and chips. Nous pédalons sur une “highway” qui contrairement à son nom, reste une route assez étroite où l’on passe difficilement 2 voitures et un vélo de front. Ce qui n’empêche absolument pas les néo zélandais de rouler à tombeau ouvert malgré le trafic intense. Alors que nous les connaissions souriants et serviables, les kiwis s’avèrent plutôt impatients et agressifs sur la route.

Sous les conseils du gérant d’un café où nous avons fait une petite pause après le trek, nous nous arrêtons au D.O.C campsite de Pelorus Bridge, au bord de la route passante. Le gérant nous assigne un emplacement et nous dit que c’est le meilleur du camping. Un peu échaudé par le précédent campement sans intérêt et par la route toute proche, nous prenons la route menant aux emplacements qui s’enfonce dans une belle forêt d’arbres gigantesque. À la sortie, nous tombons directement sous le charme. Ce camping familial est situé dans une clairière en bord de rivière, sur un gazon vert intense et notre fameux emplacement se trouve sous de belles fougères arborescentes. L’endroit est magnifique.

En route vers la Golden Bay

80km, +-650m

CampingEn cette haute saison d’été, les routes sont assez chargées. Nous sommes dans une région qui s’apparente à la Côte d’Azur et les touristes affluent massivement dans le coin. Toute fois, dans ce grand pays de seulement 4 millions d’habitants, cet afflue massif ne provoque pas les cafarnaums que nous connaissons chaque année chez nous. Nous sommes impressionnés par la quantité de vans et autres camping cars qui forment de loin le moyen de locomotion le plus utilisé.

Nous ravitaillons dans la ville grande ville de Nelson avant de prendre la direction de Ruby Bay. Au bord de la route, de nombreuses personnes vendent les produits de leur jardin et nous nous laissons tentés par toutes ces baies, framboises, fraises et autres fruits et légumes bien plus appétissants que ceux des supermarchés. Là encore le paiement se fait dans une petite boite laissée à côté. Nous voyons quand même de temps en temps des panneaux commentant les quelques malotrus qui profitent de la confiance générale pour s’offrir des fruits gratuits, mais le principe perdure tout de même. C’est vraiment agréable et reposant de se retrouver dans un pays où la confiance règne comme principe de base.

Abel Tasman

Relax a la plageCe matin, nous avons rendez vous à Kaiteriteri avec un water taxi qui nous emmène au delà du parc Abel Tasman dans la ville de Pohara. Nous arrivons en avance et profitons de quelques instant sur la plage superbe de la ville. Nous ne sommes pas de grands fans de la plage, mais la beauté de celles que nous traversons depuis le début nous convainc à y prendre quelques pause régulièrement. Le bateau nous embarque directement depuis la plage avec nos vélos. Nous profitons du voyage pour admirer la cote depuis la mer. Les plages du parc d’Abel Tasman sont réputées dans le monde entier et nous comprenons vite pourquoi. Lovées dans de petites criques abritées derrière une épaisse végétation, certaines de ces plages couleur d’or ne sont accessibles qu’en bateau et donnent vraiment des impressions de paradis perdus. Les voiliers ancrés et les kayaks posés sur le sable nous donne bien envie. Nous ne nous plaignons d’ailleurs pas trop du repos forcé auquel nous sommes contraints sur la plage de Totaranui en attendant le second bateau taxi.

Abel TasmanArrivés à destination nous partons en direction de Farewell Split, une fine bande de sable qui s’étend sur plusieurs kilomètres à la pointe Nord-Ouest de cette île du Sud. Sur la route, au milieu de nulle part, nous passons à côté d’un bar-restaurant bondé. Intrigués par tant de monde, nous jetons un coup d’œil par la porte du Mussel Inn. Nous sommes accueillis par le sourire charmeur d’un kiwi qui nous invite à rester pour le concert du soir et nous conseille d’aller poser notre tente un peu plus loin dans un lieu interdit au camping. Ce spot de “sneaky camping” semble bien connu et il est déjà couvert de tentes lorsque nous y arrivons. Nous y croisons une population hétéroclite bien sympathique qui s’apprete pour la plupart à aller au concert du soir. Avant de nous y diriger de même nous discutons un instant avec un jardinier voyageur écossais et son ami néo zélandaise au bus farfelu. En lieu et place de nos habituelles pâtes, nous mangeons un délicieux repas de produits frais, accompagné de bières produites sur place et des chansons du concert.

Farewell Spit

Wharariki beach Les kiwis sont très fiers de leur pays et ils font beaucoup de choses pour le conserver. C’est pourquoi nous voyons autant de panneaux “no camping” partout le long des routes dès qu’une zone de plat pourrait servir à poser une tente. Apparemment, le camping sauvage était devenu une nuisance à certains endroits et le papier toilette volant au milieu de lieux magnifiques à pousser le gouvernement néo zélandais à agir fermement. Du coup, le camping se fait majoritairement dans les lieux prévus pour et seuls les véhicules équipés de toilettes sont autorisés à déroger à la règle.

Nous arrivons à l’heure du pique nique dans le village de Pakawau où nous préparons nos sandwichs sur la plage sous un soleil de plomb observés par les nombreuses mouettes fortement intéressées. Difficile de pousser sur les pédales avec toutes ces plages accueillantes. Nous reprenons tout de même la route en direction de la plage de Wharariki. Cette plage est connue pour ses colonies de phoques qui jouent dans les bâches d’eau chaude laissées par la marée basse. Mais aujourd’hui le vent souffle bien fort et le sable qui nous fouette régulièrement la figure rend l’observation un peu moins agréable. De plus les phoques ont déserté les plages pour aller chasser le poisson.

Nous remontons alors sur le chemin du phare pour observer les environs d’un peu plus haut. Farewell Spit se distingue à peine sous le brouillard de sable soulevé par le vent, mais le panorama n’en reste pas moins agréable pour autant. Au retour, nous luttons contre ce vent qui ne faiblit pas et décidons de nous arrêter au camping de Pakawau et ses emplacement abrités du vent derrière de belles haies.

Farewell Spit

Première grosse journée de vélo

CollingwoodAprès quelques coups de fil pour souhaiter la bonne année, nous nous mettons en route vers 10h30 pour la grosse journée de vélo qui nous attend. Sur notre chemin aujourd’hui, le col de Takaka Hill, un des gros cols de Nouvelle Zélande. Mais tout d’abord, nous commençons par une pause thé décontractée à Collingwood. La météo est belle aujourd’hui. Le vent est calme, parfait pour le vélo. Nous arrivons assez vite dans la ville de Takaka où nous faisons un petit ravitaillement avant de partir en direction de Upper Takka où nous rejoignons la East Takaka road qui nous amène au pied de la fameuse Takaka Hill. Les cartographes ont manqué un peu d’imagination dans le coin.

Nous poussons un peu sur les pédales aujourd’hui car nous avons une réservation pour une ballade en kayak demain depuis Marahau, de l’autre côté du col. De ce côté, la route monte assez sèchement les 750 mètres de dénivelé en 10 kilomètres et une poignée de virages. Nos échauffement péruviens sont bien loin derrière nous, mais nous sommes récompensés par une belle vue tout autour et par une belle descente agréable de 15 kilomètres qui nous prend malheureusement bien moins longtemps que la grimpette. Autour de nous le paysage à bien changé depuis les plages de la Golden Bay et ressemble un peu plus à un paysage de montagne avec des prairies de moutons, des bosquets d’arbres et de petites maisons éparpillées au milieu.

Nous arrivons a Kaiteriteri à la tombée de la nuit et nous dépêchons de monter la tente et de faire la cuisine avant de nous précipiter dans les duvets pour un repos bien mérité.

Kayak le long de la Golden Bay

Seb à la pagaieNous avons bien appris notre leçon et cette fois nous sommes les premiers arrivés au rendez vous pour le kayak ! 8h10 pour 8h30, du jamais vu, même les kiwis ne sont pas encore prêt, c’est dire. Après une séance interminable sur les instructions de sécurité, nous prenons enfin la mer en direction de l’île du pêcheur. L’eau est calme et nous pagayons avec entrain. Avant d’arriver aux berges, nous sommes frappés par le bruit des grillons. Les berges sont habitées par de nombreux oiseaux, cormorans, stern et autres oyster catcher et aussi par des phoques qui viennent nager au milieu des kayaks pour notre plus grand plaisir.

Nous quittons difficilement ces facétieux mammifères pour rejoindre l’île Adele toute proche et rencontrer d’autres phoques avec leur petits qui font craquer Laetitia instantanément. Nous prenons un grand plaisir à les voir d’aussi près assis dans notre kayak. L’appel du ventre finit par nous décider à rejoindre une plage accessible uniquement aux marins d’eau douce que nous sommes pour y savourer notre pique nique dans le sable.

BBQ avé les kiwisPuis nous mettons le cap vers la cote d’en face où nous retrouvons une nouvelle fois les néo zélandais si sympathique du Queen Charlotte Track. Eux aussi sont en ballade en kayak et ils nous invitent à les rejoindre ce soir à leur camping pour passer la soirée avec eux. Nous prenons rendez vous et poursuivons notre promenade. Sur la plage d’Observation Bay, Sébastien se fait agresser par un couple d’Oyster Catcher qui protège bec et ongle leur progéniture dans le nid qu’ils ont fait à même le sable. Alors que nous nous approchons à nouveau pour vérifier notre théorie, nous nous faisons réprimander par des kiwis. Ici on ne rigole pas avec la nature. Sur le principe nous comprenons la réaction mais avons un peu plus de mal avec la manière.

Nous finissons par rejoindre le camping d’Old MacDonald Farm House où nous sommes accueillis avec une petite mousse bien fraîche. Ces charmants kiwis nous invitent ensuite à les rejoindre pour un barbecue bien appétissant. Pour les remercier, Laetitia prépare une mousse au chocolat qui fait mouche. Nous passons une très bonne soirée à discuter de tout et de rien.

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6 responses to “Au nord de l’île du sud”

  1. Très belle journée à vous,

    Je suis heureuse de vous lire aussi enthousiastes car quitter un monde pour en découvrir un autre n’est pas forcement évident.
    faites attention à vous en vélo c’est vrai que les habitudes de conduite sont difficile à corriger mais je suis sûr que le plis est déjà pris.
    Bravo à Lætitia pour sa mousse c’est son atout séduction que je veux absolument connaitre lors d’un maté et d’un thé.
    Sébastien pour fêter dignement l’année tu aurais pu accompagner Lætitia au moins une fois mais bon chacun sa passion et ses envies c’est bien aussi
    Je vous souhaite de belles rencontres
    Merci pour les photos de ce pays que je connais bien, c’est agréable de le voir raconter par d’autre que soi
    Je vous embrasse
    Chloé

  2. merci beaucoup de m’avoir envoyé une magnifique carte de voeux c’est très gentil à vous et ça me fait plaisir que vous ayez eu une pensée pour nous d’aussi loin.
    Encore une fois recevez mes voeux les meilleurs avec beaucoup de bonheur et pourquoi pas beaucoup de petits bébés …mais je pense que l’année 2012 sera pour vous une excellente année avec au programme la découverte de la Nouvelle Zélande et ses alentours…lointains.
    Plus que quelques mois ; (profitez bien). Je vous souhaite aussi une année magnifique pour la suite du long voyage mais surtout le temps des retrouvailles sera magnifique : le chat va vous en vouloir de l’avoir laissé mais surtout retrouvailles avec les parents et amis !!!Bonne suite de voyage et gros bisous pour la carte de bonne année. (je ne sais si vous l’avez reçu : “mon petit oiseau” qui vous souhaitait une bonne année en faisant trempette dans une coupe de champagne.
    Bernard

  3. Merci beaucoup pour votre carte du bout du monde.Mamie et moi vous souhaitons plein de bonnes choses pour cette année 2012, que vous avez commencée en engrangeant des souvenirs inoubliables. Vous avez maintenant la tete en bas par rapport à nous! Bonne continuation et gros bisous de nous deux Pépé et Mamie

  4. Belle journée à vous deux
    Un petit bonjour car vos récits me manque.
    J’espère que vous vous amusez et que votre matériel tiens bien la route et que la votre se passe sans encombre.
    Je vous embrasse
    Belle route les amoureux

  5. Bonjour à vous,
    Nous avons eu la fête des taureaux à St Aunès et nous nous sommes amusés. Quelques élèves ont attrapé les taureaux par la queue et les cornes. Des personnes se sont faits encorner ou marcher sur les pieds par les taureaux ! A une encierro, un taureau a passé ses cornes entre les barrières.
    Dans la classe les CM1 travaillent sur le passé simple, les triangles et les centièmes. Les CE2 étudient les déterminants et les noms ainsi que les tables de multiplication (tous les élèves aimeraient être à votre place à faire du vélo au soleil).
    Nous espérons que vous avez bien reçu nos photos et nos voeux.
    Continuez bien votre tour du monde et au revoir. A la prochaine fois.
    La classe de CE2-CM1 de Mr Jaffré.

  6. Coucou
    J’espère que tout se passe bien pour vous, nous n’avons plus trop de nouvelles mais apparemment vous avez des difficultés pour vous connecter.
    En tout cas reposez-vous bien, profitez de ce pays pour vous requinquer. Et vivement de nouveaux récits bisous à vous deux.